lundi 31 août 2015

Top août 2015

Ça y est, c’est la rentrée...
Par bonheur, le mois d’août a été agréablement chargé en matière de lectures; j’ai donc quelques préconisations à vous faire, si vous êtes en panne d’idées, et si la bousculade sur les présentoirs de la Fnac combinée à la stratégie marketing de l’usure menée par Amazon qui vous sature de mails vous laisse indécis.

Pour une critique exhaustive, vous pouvez vous reporter aux ”points lecture” que je me suis décarcassée à faire par amour de l’art et de vous.

Voici le top du mois!

Même avec du recul, penser au livre de Camille Auseaume me fait l’effet d’une vague de douceur et de thé au jasmin (un pléonasme, pardon). Elle ne regrette pas, moi non plus!




Là c’est l’inverse, c’est l’effet bonbon acide du type ”tête brûlée” (ça existe encore?...) qui vous fait vous étouffer et cracher partout à chaque fois. Et comme pour les têtes brûlées, de manière incompréhensible, on en redemande quand même. C’est addictif, de regarder la réalité en face.




Encore frais dans ma tête, mais je pense qu’avec le temps je considérerai que le Viguier arrive avant. Envoyez vos préjugés au placard, les héros antiques débarquent et sont plus fringants et modernes que jamais!




Retour à l’adolescence, avec toutes ses ambivalences et ses émotions multiples difficiles à décrypter. Aristote et Dante ne découvrent peut-être pas les secrets de l’univers, mais ils découvrent de quelle étoffe ils sont faits, avec tout ce que cela engendre de rejet et d’acceptation.




Une perle de la rentrée littéraire : les derniers jours de Khadafi depuis ses propres yeux. Qui peut résister à se mettre, l’espace d’une heure, dans la peau d’un tyran? Avec la prose envoûtante de Khadra, par-dessus le marché!





Flop :
Il y en a un à déplorer: Look, qui m’a laissée aussi indifférente que lorsque j’ai appris qu’il y avait eu en 1911 en France une recrudescence de diarrhées mortelles frappant les nourrissons.
J’exagère.
J’ai placé cette information cruciale dans plusieurs dissertations d’histoire, à l’époque (je vous laisse imaginer combien elle a fait mouche).
Alors que Look, je n’en parlerai plus.


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